2003, ISBN: 2841172384

[EAN: 9782841172382], Gebraucht, wie neu, [PU: Editions SEDRAP], HISTOIRES D'INDIENS : DOSSIERS ET CORRECTIONS SEDRAP ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, Expédier sous 48 heures Décembre 1995, les mou… Plus…

[EAN: 9782841172382], Gebraucht, wie neu, [PU: Editions SEDRAP], HISTOIRES D'INDIENS : DOSSIERS ET CORRECTIONS SEDRAP ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, Expédier sous 48 heures Décembre 1995, les mouvements de grèves des transports paralysent la France. Six mois plus tard, Louis Gallois prend la direction de la SNCF avec pour ambition d'en révolutionner plus que son activité industrielle ou ses services, son management. «Forger une entreprise de service public à la dimension de l'Europe, ne peut être qu'une aventure collective», déclare-t-il. C'est ainsi qu'à la veille du 3e millénaire, Louis Gallois aborde une entreprise en pleine mutation économique et commerciale par la mobilisation de ses hommes et de ses femmes.Se mettre d'accord sur les changements et en relever les défis, être solidaire des actions à mener, privilégier le dialogue, responsabiliser, encourager l'innovation et la prise de risque, partager les expériences, expliquer les choix, respecter et faire confiance, être moteur d'idées, prévenir les conflits, voilà quelques-uns des points clés de l'action de toute une entreprise mobilisée autour d'un projet, devenu celui de 170 000 salariés impliqués.Comment une entreprise publique enracinée dans des valeurs sociales et culturelles profondes où tout changement autre que technique était considéré comme un risque est-elle entrée dans l'ère de la concurrence et de l'obligation de résultat ? C'est l'histoire saisissante d'un management participatif sans précédent que nous fait vivre Monique Fournier-Laurent sans en masquer les difficultés, les oppositions ou les écueils rencontrés. Un témoignage dont chacun pourra s'inspirer. Monique Fournier-Laurent a exercé, pendant trente ans, avec passion a différentes responsabilités à la SNCF : de chef de gare à directrice de région, en passant par directrice d'établissement exploitation et directrice déléguée à l'Infrastructure. Fin 2000, le président Louis Gallois lui demande de prendre la tête de la Direction des cadres et du management, poste qu'elle occupera jusqu'en août 2005, en restant comme elle l'a toujours fait, très proche du terrain.Extrait du livre :ContexteL'histoire débute en 1996, la SNCF vient de traverser une grave crise. Les plaies des derniers chocs de management sont encore béantes. Après la longue grève de décembre 1995, le contrat de plan et les restructurations régionales annoncés comme salutaires et comme «dernière chance» avaient été abandonnés. Les dirigeants qui avaient «mouillé la chemise» pour convaincre les équipes du bien-fondé de ces démarches s'étaient retrouvés en porte-à-faux, seuls face aux questions et remarques ironiques des agents amusés qui leur demandaient : «Vous pensez toujours sincèrement que ces réorganisations étaient vitales ?» Certains étaient même en place pour prendre des nouveaux postes qui n'existaient plus. Il n'est pas difficile d'imaginer qu'il pouvait s'écouler du temps avant que ces soldats ne repartent en guerre.Ce sont ces mêmes dirigeants qui, au début de l'année 1996, ont retrouvé des responsabilités sous la direction d'un nouveau président qui marqua la rupture avec son prédécesseur. Il plaça le client dans tous les esprits et en fit la raison d'être de toutes les réflexions et décisions. Il démontra, au travers de cas précis, combien le fonctionnement était perfectible pour «placer le client au centre de nos préoccupations». Il négocia avec l'État le remplacement du contrat de plan par un projet industriel. Mais l'histoire aurait pu continuer puisque, six mois plus tard, on assistait à un nouveau changement de président. À son arrivée, à l'été 1996, le président Gallois doit donc remettre tout le monde au travail, pour les clients, pour des résultats et pour préparer l'avenir. Il annonce sa volonté de continuer ce qu'a entrepris son prédécesseur, affiche une reconnaissance de ce qui a été accompli et des progrès en cours. Paradoxalement, c'est un premier grand signe de changement pour tous les cheminots, y compris pour les dirigeants. Il montre qu'il n'est pas nécessaire de critiquer son prédécesseur pour être important. Aazbook est spécialiste du livre neuf et occas<

2003, ISBN: 2841172384

[EAN: 9782841172382], Gebraucht, wie neu, [PU: Sedrap], HISTOIRES D'INDIENS : DOSSIERS ET CORRECTIONS SEDRAP ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, Expédier sous 48 heures Décembre 1995, les mouvements d… Plus…

[EAN: 9782841172382], Gebraucht, wie neu, [PU: Sedrap], HISTOIRES D'INDIENS : DOSSIERS ET CORRECTIONS SEDRAP ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, Expédier sous 48 heures Décembre 1995, les mouvements de grèves des transports paralysent la France. Six mois plus tard, Louis Gallois prend la direction de la SNCF avec pour ambition d'en révolutionner plus que son activité industrielle ou ses services, son management. «Forger une entreprise de service public à la dimension de l'Europe, ne peut être qu'une aventure collective», déclare-t-il. C'est ainsi qu'à la veille du 3e millénaire, Louis Gallois aborde une entreprise en pleine mutation économique et commerciale par la mobilisation de ses hommes et de ses femmes.Se mettre d'accord sur les changements et en relever les défis, être solidaire des actions à mener, privilégier le dialogue, responsabiliser, encourager l'innovation et la prise de risque, partager les expériences, expliquer les choix, respecter et faire confiance, être moteur d'idées, prévenir les conflits, voilà quelques-uns des points clés de l'action de toute une entreprise mobilisée autour d'un projet, devenu celui de 170 000 salariés impliqués.Comment une entreprise publique enracinée dans des valeurs sociales et culturelles profondes où tout changement autre que technique était considéré comme un risque est-elle entrée dans l'ère de la concurrence et de l'obligation de résultat ? C'est l'histoire saisissante d'un management participatif sans précédent que nous fait vivre Monique Fournier-Laurent sans en masquer les difficultés, les oppositions ou les écueils rencontrés. Un témoignage dont chacun pourra s'inspirer. Monique Fournier-Laurent a exercé, pendant trente ans, avec passion a différentes responsabilités à la SNCF : de chef de gare à directrice de région, en passant par directrice d'établissement exploitation et directrice déléguée à l'Infrastructure. Fin 2000, le président Louis Gallois lui demande de prendre la tête de la Direction des cadres et du management, poste qu'elle occupera jusqu'en août 2005, en restant comme elle l'a toujours fait, très proche du terrain.Extrait du livre :ContexteL'histoire débute en 1996, la SNCF vient de traverser une grave crise. Les plaies des derniers chocs de management sont encore béantes. Après la longue grève de décembre 1995, le contrat de plan et les restructurations régionales annoncés comme salutaires et comme «dernière chance» avaient été abandonnés. Les dirigeants qui avaient «mouillé la chemise» pour convaincre les équipes du bien-fondé de ces démarches s'étaient retrouvés en porte-à-faux, seuls face aux questions et remarques ironiques des agents amusés qui leur demandaient : «Vous pensez toujours sincèrement que ces réorganisations étaient vitales ?» Certains étaient même en place pour prendre des nouveaux postes qui n'existaient plus. Il n'est pas difficile d'imaginer qu'il pouvait s'écouler du temps avant que ces soldats ne repartent en guerre.Ce sont ces mêmes dirigeants qui, au début de l'année 1996, ont retrouvé des responsabilités sous la direction d'un nouveau président qui marqua la rupture avec son prédécesseur. Il plaça le client dans tous les esprits et en fit la raison d'être de toutes les réflexions et décisions. Il démontra, au travers de cas précis, combien le fonctionnement était perfectible pour «placer le client au centre de nos préoccupations». Il négocia avec l'État le remplacement du contrat de plan par un projet industriel. Mais l'histoire aurait pu continuer puisque, six mois plus tard, on assistait à un nouveau changement de président. À son arrivée, à l'été 1996, le président Gallois doit donc remettre tout le monde au travail, pour les clients, pour des résultats et pour préparer l'avenir. Il annonce sa volonté de continuer ce qu'a entrepris son prédécesseur, affiche une reconnaissance de ce qui a été accompli et des progrès en cours. Paradoxalement, c'est un premier grand signe de changement pour tous les cheminots, y compris pour les dirigeants. Il montre qu'il n'est pas nécessaire de critiquer son prédécesseur pour être important. Aazbook est spécialiste du livre neuf et occas<

2003, ISBN: 2841172384

[EAN: 9782841172382], Gebraucht, wie neu, [PU: Sedrap], HISTOIRES D'INDIENS : DOSSIERS ET CORRECTIONS SEDRAP ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, Expédier sous 48 heures Décembre 1995, les mouvements d… Plus…

[EAN: 9782841172382], Gebraucht, wie neu, [PU: Sedrap], HISTOIRES D'INDIENS : DOSSIERS ET CORRECTIONS SEDRAP ENSEIGNEMENT PRIMAIRE, Expédier sous 48 heures Décembre 1995, les mouvements de grèves des transports paralysent la France. Six mois plus tard, Louis Gallois prend la direction de la SNCF avec pour ambition d'en révolutionner plus que son activité industrielle ou ses services, son management. «Forger une entreprise de service public à la dimension de l'Europe, ne peut être qu'une aventure collective», déclare-t-il. C'est ainsi qu'à la veille du 3e millénaire, Louis Gallois aborde une entreprise en pleine mutation économique et commerciale par la mobilisation de ses hommes et de ses femmes.Se mettre d'accord sur les changements et en relever les défis, être solidaire des actions à mener, privilégier le dialogue, responsabiliser, encourager l'innovation et la prise de risque, partager les expériences, expliquer les choix, respecter et faire confiance, être moteur d'idées, prévenir les conflits, voilà quelques-uns des points clés de l'action de toute une entreprise mobilisée autour d'un projet, devenu celui de 170 000 salariés impliqués.Comment une entreprise publique enracinée dans des valeurs sociales et culturelles profondes où tout changement autre que technique était considéré comme un risque est-elle entrée dans l'ère de la concurrence et de l'obligation de résultat ? C'est l'histoire saisissante d'un management participatif sans précédent que nous fait vivre Monique Fournier-Laurent sans en masquer les difficultés, les oppositions ou les écueils rencontrés. Un témoignage dont chacun pourra s'inspirer. Monique Fournier-Laurent a exercé, pendant trente ans, avec passion a différentes responsabilités à la SNCF : de chef de gare à directrice de région, en passant par directrice d'établissement exploitation et directrice déléguée à l'Infrastructure. Fin 2000, le président Louis Gallois lui demande de prendre la tête de la Direction des cadres et du management, poste qu'elle occupera jusqu'en août 2005, en restant comme elle l'a toujours fait, très proche du terrain.Extrait du livre :ContexteL'histoire débute en 1996, la SNCF vient de traverser une grave crise. Les plaies des derniers chocs de management sont encore béantes. Après la longue grève de décembre 1995, le contrat de plan et les restructurations régionales annoncés comme salutaires et comme «dernière chance» avaient été abandonnés. Les dirigeants qui avaient «mouillé la chemise» pour convaincre les équipes du bien-fondé de ces démarches s'étaient retrouvés en porte-à-faux, seuls face aux questions et remarques ironiques des agents amusés qui leur demandaient : «Vous pensez toujours sincèrement que ces réorganisations étaient vitales ?» Certains étaient même en place pour prendre des nouveaux postes qui n'existaient plus. Il n'est pas difficile d'imaginer qu'il pouvait s'écouler du temps avant que ces soldats ne repartent en guerre.Ce sont ces mêmes dirigeants qui, au début de l'année 1996, ont retrouvé des responsabilités sous la direction d'un nouveau président qui marqua la rupture avec son prédécesseur. Il plaça le client dans tous les esprits et en fit la raison d'être de toutes les réflexions et décisions. Il démontra, au travers de cas précis, combien le fonctionnement était perfectible pour «placer le client au centre de nos préoccupations». Il négocia avec l'État le remplacement du contrat de plan par un projet industriel. Mais l'histoire aurait pu continuer puisque, six mois plus tard, on assistait à un nouveau changement de président. À son arrivée, à l'été 1996, le président Gallois doit donc remettre tout le monde au travail, pour les clients, pour des résultats et pour préparer l'avenir. Il annonce sa volonté de continuer ce qu'a entrepris son prédécesseur, affiche une reconnaissance de ce qui a été accompli et des progrès en cours. Paradoxalement, c'est un premier grand signe de changement pour tous les cheminots, y compris pour les dirigeants. Il montre qu'il n'est pas nécessaire de critiquer son prédécesseur pour être important. Aazbook est spécialiste du livre neuf et occas<