Ida Saint-Elme:Memoires DUne Contemporaine 78 Souvenirs DUne Femme Sur Les Principaux Personnages de La Republique, Du Consulat, de LEmpire, Etc French Edition
- Livres de poche 1989, ISBN: 9781155132310
RareBooksClub. Paperback. New. This item is printed on demand. Paperback. 28 pages. Dimensions: 9.7in. x 7.4in. x 0.1in.Extrait: . . . Et par cette raison il nest pas son vainqueur. Fai… Plus…
RareBooksClub. Paperback. New. This item is printed on demand. Paperback. 28 pages. Dimensions: 9.7in. x 7.4in. x 0.1in.Extrait: . . . Et par cette raison il nest pas son vainqueur. Faisons voir comme en son absence Mon coeur la tousjours ador, Et que mesme il la prefer A ceux dont il devoit redouter la puissance; Si cela ne le touche pas Cherchons un genereux trespas, Esteignons dans mon sang une flame si belle, Et montrons en mourant ce perfide coeur, Que jusques la fin je suis tousjours fidele, Que je suis sa Chymene, and quil est mon vainqueur. SCENE SEPTIESME. CHIMENE, DOM ARIAS. DOM ARIAS. Madame, on vous attend, and le Roy vous demande. CHIMENE. O pourquoy que veut-il, Ciel que japprehende! D. ARIAS. Il est avec lInfante en cet appartement. CHIMENE. Qu regret jobeis ce commandement: Je say ce quil me veut, mais toute sa puissance Essayra vainement desbranler ma constance, En vain il a recours cet effort nouveau, Un trne est inutile qui cherche un tombeau, Et bien que mon Amant soit lautheur de ma peine, Il est tousjours Rodrigue and moy tousjours Chymene. ACTE IV. SCENE PREMIERE. LE ROY, LE CID, LINFANTE. LE ROY. Grand Cid toute lEspagne a receu de ton bras La paix and le repos que ton Prince na pas, Ce glorieux effect manque encore ta gloire, Pour la rendre parfaite, acheve ta victoire, Combats en ma faveur un superbe ennemy, Qui faict que ta valeur na vaincu qu demy, Si tandis que mon peuple est sauv de lorage, Elle me laisse seul au danger du naufrage. LE CID. Quoy, Sire, est-il quelquun qui se soit revolt Contre les justes loix de vostre Majest Est-il quelque mutin dont la vaine insolence Ose encor seslever contre vostre puissance Nommez le moy, Seigneur, que je loste du jour. LE ROY. Rodrigue on ne le peut. LE CID. H! pourquoy LE ROY. Cest lamour. . . . This item ships from La Vergne,TN., RareBooksClub, RareBooksClub. Paperback. New. This item is printed on demand. Paperback. 24 pages. Dimensions: 9.7in. x 7.4in. x 0.1in.Extrait: . . . Nicanor . Deffions-nous, mon fils, de cette ame cache: Quand du commun danger elle paroist touche, Et nous porte au combat pour le salut de tous, Elle veut seulement se deffaire de nous. Amintas . Quelque dessein quelle ait, cette belle Princesse, Sa volont tousiours de la mienne Maistresse, Et de mes actions seule, and fatale Loy, Dispose absolument de moy-mesme sans moy. Heureux quen ce rencontre elle ne me propose, Quune bonne action, quoy rien ne soppose, Et quelle ne se sert de son divin pouvoir, Qu porter mon courage faire son devoir. Nicanor . Quaveuglement tu suis une amour insense! Amintas . Vous men avez Seigneur, inspir la pense. Nicanor . On change de dessein selon lutilit. Amintas . On ne suit pas ainsi lexacte probit. Nicanor . Ha! ne te pique point de ces vertus frivolles, Amintas . Cest perdre temps, Seigneur, en de vaines parolles, Tandis que de Paphos tout le peuple estonn, Se croit avec raison de nous abandonn. Donnons pour son salut les ordres necessaires; Envoyons des partis observer les Corsaires. Tandis que vous veillez deffendre nos Murs, Employez ma valeur aux travaux les plus durs. Rendez-moy digne enfin de ces hautes penses, Que vos conseils hardis dans mon ame ont laisses, Nicanor . Allons donc faire encore des ingrats dans Paphos. SCENE VI. AMINTAS, CRITON. Amintas . Prens mes armes, Criton, and deux de mes chevaux, Sur le bord de la mer je te joins dans une heure; Mais ne te lasse point de ma longue demeure. Les Princes clairez, and suivis en tous lieux, Ont dans leurs actions tromper bien des yeux, Et ce monde empress qui ne les quitte guere, Les rend plus malheureux que ne croit le vulguaire, Je veux aller combattre Orosmane en son Camp; Nous sommes peu, Criton, pour un dessein si grand Criton . Un semblable dessein nen veut pas davantage. Amintas . Je voulois prouver ton sens, and ton courage. Criton . Mon zele. Amintas . Il mest connu, va viste, and . . . This item ships from La Vergne,TN., RareBooksClub, Paris, France: Ramsay/de Cortanze, 1989. Book. Very Good. Soft cover. 8vo - over 7 in- 9 in Tall. Couverture souple, texte francais. État d'usage: très bon état. Les Marronniers De Boulogne "Malraux "Mon Pere" Edition finale. L'image de l'écrivain ou plutôt l'icône qui s'impose à la mémoire collective, c'est la photo de Gisèle Freund lorsqu'elle l'immortalise mèche au vent, Camel aux lèvres, son trench jeté sur ses épaules. Elle vaut pour le romancier et l'aventurier, le combattant et l'inlassable orpailleur des richesses du monde. Rupture et métamorphose, le Malraux des lendemains de la guerre présente une tout autre physionomie. L'accumulation des deuils personnels, la lassitude du combat, l'humanisme mis à mal, l'incertitude géopolitique, mais aussi un nouvel amour, des enfants à élever et un grand ouvre à accomplir le sédentarisent. C'est alors qu'avec Madeleine Malraux, sa belle-sour, il s'installe en juin 1945 à Boulogne, l'un des « fiefs » de sa jeunesse, dans « le Quartier des Princes » au 19bis de l'Avenue Victor Hugo (aujourd'hui Avenue Robert Schuman). Ce lotissement résidentiel, pris sur le « Bois », est devenu dans les années 20 un laboratoire architectural d'avant-garde. Il y choisit dans l'enthousiasme une somptueuse demeure art-déco bâtie par Jacques-Léon Courrèges, le père du couturier, dont il loue l'étage noble, un duplex enchanteur. Il s'y improvise aussitôt décorateur, et surtout il accroche ses toiles aux murs blancs : Fautrier, Braque ou Dubuffet, distribue ses objets : têtes gréco-boudhiques, jarre mésopotamienne soclée en lampe, poupées Hopi. futures présences du Musée imaginaire. ., Ramsay/de Cortanze, 1989, RareBooksClub. Paperback. New. This item is printed on demand. Paperback. 50 pages. Dimensions: 9.7in. x 7.4in. x 0.1in.This historic book may have numerous typos and missing text. Purchasers can download a free scanned copy of the original book (without typos) from the publisher. Not indexed. Not illustrated. 1810 edition. Excerpt: . . . that part of heavn, Where now it burns, Marcellus and myself, The bell then beating one Here enters the Ghost, after you are thus prepared. There is something solemn and sublime in thus regulating the walking of the spirit, by the course of the star: it intimates a connection and correspondence between things beyond our ken, and above the visible diurnal sphere. Horatio is affected with that kind of fear, which such an appearance would naturally excite. He trembles, and turns pale. When the violence of the emotion subsides, he reflects, that probably this supernatural event portends some danger danger lurking in the state. This suggestion gives importance to the phaenomenon, and engages our attention. Horatios relation of the kings combat with the Norwegian, and of the forces the young Fortinbras is assembling, in order to attack Denmark, seems to point out, from what quarter the apprehended peril is to arise. Such appearances, says he, preceded the fall of mighty Julius, and the ruin of the great commonwealth; and he adds, such have often been the omens of disasters in our own state. There is great art in this conduct. The true cause of the royal Danes discontent could not be guessed at: it was a secret which could be only revealed by himself. In the mean time, it was necessary to captivate our attention, by demonstrating, that the poet was not going to exhibit such idle and frivolous gambols, as ghosts are by the vulgar often represented to perform. The historical testimony, that antecedent to the death of Caesar, The graves stood tenantless, and the sheeted dead Did squeak and gibber in the Roman streets, L 2 gives gives credibility and importance to this phenomenon. Horatios address to the Ghost is brief and pertinent, and the whole. . . This item ships from La Vergne,TN., RareBooksClub, RareBooksClub. Paperback. New. This item is printed on demand. Paperback. 72 pages. Dimensions: 9.7in. x 7.4in. x 0.1in.Extrait: . . . et ce ne fut quaprs un long et dchirant combat que ma raison, assez matresse de mes soupirs, put rpondre Lopold comme une mre et crit un fils bien-aim; et si des circonstances mont, dans la suite, mise bien prs de la plus sduisante des erreurs, je puis du moins me rendre tmoignage que, non seulement je ny ai jamais cd, mais que je nai plus regard celui qui et pu me la faire partager, que comme un fils, un fils chri et respect plus encore. Je passai la nuit la plus agite; et peine tait-il jour, quon frappa ma porte pour me demander si je voulais permettre M. dAutr de venir me faire ses adieux; je jetai vite une robe et un schall sur moi et le reus. DAutr venait de recevoir une lettre de son pre, qui avait enfin retrouv les traces de Paula, et qui engageait son mari venir les chercher Gnes, o elle tait lgrement indispose; il assurait dAutr que sa femme tait, depuis son plerinage Rome, absolument revenue de lide de se faire religieuse; il disait: Paula, mon fils, est encore digne de toi; Paula est une excellente femme, et belle, oh! belle comme les plus belles vierges qui ornent ici toutes les galeries. M. Brillant dAutr connaissait la faiblesse un peu vaniteuse de son fils, il le flattait pour gagner du temps; aussi dAutr ne rvait plus que Paula; il me montrait son portrait, ses souvenirs, et me demanda, comme une faveur, de lire avec lui le fragment que voici, et dcrire quelques lignes en marge du manuscrit que je lui avais offert. DAutr tait un excellent homme, et de ce caractre qui, parmi les militaires, se dsigne par un bon enfant; sans instruction ni beaucoup desprit, mais nanmoins aimable, de cette gaiet franaise que donne une heureuse nature. DAutr me quitta avec promesse de mcrire. La lettre Lopold tait reste non acheve sur la table: jy jetai un regard, hsitai encore un moment, tout prs. . . This item ships from La Vergne,TN., RareBooksClub<